Alice Cullen**
Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 28/01/2009
| Sujet: ALICE CULLEN ♥ she drives him crazy Mer 28 Jan - 18:47 | |
| || || || {{ YOU . Ne jouez plu les mystérieux, dites-nous qui vous êtes
NOM: Sick Puppies, mais on m'appelle Jazz. AGE: 15 ans OÙ HABITEZ VOUS: Je garde ça pour moi, je ne vois pas à quoi ça pourrait servir (a) COMBIEN DE FOIS PENSEZ VOUS VENIR PAR SEMAINE: Minimum 3 fois par semaine, peut être même 4 CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR: Ashley Greene <33
{{ NOM DE VOTRE PERSONNAGE ICI . Serait-ce trop vous en demandez ?
PRENOM: Alice, née Mary Alice. NOM: Cullen (Nom de vampire), Brandon (Nom d'humaine) AGE: Physiquement, 19 ans. Réellement, vers les 89 ans LIEU DE NAISSANCE: Biloxi, Mississippi, États-unis d'Amérique. DATE DE NAISSANCE: Vers les années 1901. GROUPE: Cullen Family DON : Son aptitude spéciale est de voir le futur, une version améliorée de son aptitude d'avoir des prémonitions en tant qu'humaine. Cependant, son pouvoir est limité; elle ne peut voir une action que dès lors que celle-ci a été préméditée, que la décision a été prise. De ce fait, les décisions prises sans réfléchir ne peuvent être vues. D'autant plus qu'elle peut voir le futur concernant les humains et les vampires, sans pour autant être incapable de voir le futur des loups-garous ou autres créatures Surnaturels ... elle suppose qu'elle peut voir très clairement les vampires car elle en est une, peut voir les humains moins bien parce qu'elle en était une, et ne peut pas voir autres parce qu'elle n'en a jamais été une.
{{ THE REAL ME . Surprenez nous !
CARACTÈRE {8 lignes minimum : PHYSIQUE {5 lignes minimum : HISTOIRE {15 lignes minimum :
{{ QUESTION . C'est simple, cochez votre réponse et dite pourquoi en moins de trois lignes. Point important, dite la vérité, le maître du jeu sait tout
Un choix s'offre à vous, sauvez votre vie ou celle d'un autre. Sauveriez vous la votre ? {} Oui {x} Non Pourquoi ?: A vrai dire, cela dépend grandement de la personne en question, je ne saurais faire ce choix que si j'y suis réellement confrontée. Par ailleurs, je reste effectivement du genre à me mettre sans hésitation en danger pour ceux que j'aime.
Vous êtes témoin d'un meurtre, allez vous le dire à la police? {} Oui {x} Non Pourquoi ?: Sans prendre en compte le fait d'être vampire, je ne vois pas en quoi la police pourrait m'être utile dans une situation pareille, les humains sont tellement naïfs, tellement fragiles ...
Seriez-vous près à poser nue dans un magasine pour de l'argent? {} Oui {x} Non Pourquoi ?: Pour le plaisir, peut être bien, pour l'argent, sûrement pas. J'ai eu la chance d'être adopté par une famille on ne peut plus riche.
Trahireriez-vous un ami(e) pour arriver à votre voeux le plus chère? {} Oui {x} Non Pourquoi ?: Trahir n'a jamais été de mon ressort, ce ne serait pas moi. Je reste fidèle à ceux que j'aime, je ne fais jamais passer ma personne avant les autres. De plus que pourrait être mon vœux le plus chère ? Redevenir humaine ? Sûrement pas ! J'avoue qu'être vampire reste assez pénible à supporter, d'un point, d'un autre, je ne vois pas mieux que de l'être.
{{ THE END . Il ne vous en reste plus beaucoup avant d'entrer dans notre monde
OÙ AVEZ VOUS TROUVER LE FORUM: Par Rose, aka ma Cara <33 COMMENT LE TROUVEZ VOUS: Magnifique, le design en tout cas (L) AVEZ VOUS LUE LES LIVRES TWILIGHT: Non, mais croyez moi, j'ai bien plus que l'essentiel sur l'histoire. Mon ami Wikipédia m'a tenu au courant (a) NIVEAU D'ÉCRITURE: [7/10] EXEMPLE DE RP: Je préviens que ma façon d'écrire sort parfois de l'ordinaire. Mais si demandé, je peux très bien RP normalement. Juste que mon exemple de RP était avec quelqu'un d'assez particulier, il faut l'avouer
- Spoiler:
J'ai réfléchi, je ne fais que ça, durant des heures, peut être même des nuits, de toutes celles où tu n'étais pas à mes côtés, de toutes celles où j'ai dû accrocher des mes mains ce cousins qu'était alors mon unique compagne. Je me rappelle encore, et je sais, je sens qu'un jour encore, je le referais; fermer les yeux, tellement fort, pour ne pas avoir à pleurer, ne pas avoir l'air d'être faible. J'ai réfléchi, et je me suis rendu compte, tellement de temps depuis notre rencontre, que je savais pas qui tu étais. Peut être qu'avant, je me répétais instantanément qu'on ne se connaissait depuis longtemps pour que je le sache, mais aujourd'hui, cette allégation n'aurait été que mensonge. Alors j'ai commencé à citer, sur une petite feuille en papier, ce que tu n'étais pas, c'était sans doute la seule chose qui m'avait été offerte. Et la liste était tellement longue, tant de choses, tu n'étais pas, et pourtant, tout restait flou dans ma tête, j'avais beau rayer de la liste tout les mot qui ne te décrivaient pas, chaque fois d'autres me venaient, et ils étaient juste sempiternels. Tu n'es pas cet homme dont je rêvais chaque nuit, celui qui me hantait l'esprit, chaque fois que j'avais la mauvaise idée de fermer les yeux, tu n'étais pas celui qui allait me prendre dans ses bras afin que je puisse me sentir à l'égare de toute atteinte, tu ne seras sans doute jamais l'homme aux belles paroles, aux poèmes qui auraient fait chaviré ce cœur si fragile qu'est le mien. Tu n'es pas, tu ne seras pas, tout simplement... Néanmoins, des hommes, j'en avais rencontré tellement depuis qu'on se connaissait, j'en avais embrassé plus d'un, après t'avoir surpris dans les bras d'une autre, j'en avais aimé d'autres, quand je voulais du moins essayer de te rendre jaloux. Je n'ai jamais su si tu l'avais un jour été. J'ignorais même si tu éprouvais un quelconque sentiment, de ce cœur que j'entendais battre de vive allure lorsque je posais ma tête sur ton torse. Je n'ai jamais pu savoir si c'était moi qui te faisait cet effet, où si c'était parce que tu craignait qu'un jour je me lasse de tes tromperies incessantes. Et je m'en suis lassée, depuis bien longtemps, j'avais simplement appris à passer l'éponge, c'était tellement plus facile d'oublier, de négliger, d'effacer, c'était tout ce que je pouvais faire.
Je me complaisais dans cette idée peu poli, lorsque tu te redressa. dans ton regards, je devinais déjà ce qui m'attendait, et pourtant j'étais resté là, debout, presque immobile, comme dépourvue de tout contrôle de mon corps, mes désirs me précédaient, et je n'y pouvais rien. Mon visage affichait se sourire que je ne pouvais contrôler, le plaisir me prit malgré moi, tu t'approchais, et je tressaillais, jusqu'à ce que tu me prennes dans tes bras, et que tes mains insaisissables ne se baladent tout au long de mon corps, mon âme en fut alors presque ranimée. Pourtant, tout bas, je me répétais « Arrête, arrête ». Peut être bien qu'en réalité j'avais envie de tout le contraire, je ne savais plus, j'avais simplement fermé les yeux, et je lutais de toutes mes forces intérieurs, afin de ne pas être prise de ce désir qui me faisait ressentir cette exaltation alarmante, celle qui transformait cette personne que je m'étais forcée à rester tout au long de ces années, en une autre que tu étais sans doute le seul à connaître.
« Embrasse-moi ! », avais-je dis de cette voix presque éteinte, lorsqu'il me demanda s'il voulait me laisser me reposer. Puis je lui avais littéralement sauté dessus, sans doute était-ce ce qu'il attendait de moi, mais moi même, en y repensant, je me reconnais à peine, durant ces instants. L'amour était une chose, tomber amoureuse de toi, en était une autre. Je t'avais entraîné vers l'intérieure de la salle de bain, tout en gardant mes lèvres collées aux tiennes, je te prenais par le col, et fermait brusquement la porte, je marchais à reculons, m'accrochais à toi, comme si je craignais que tu ne puisse me lâcher. Je m'efforçais tout aussi d'oublier l'odeur qui se dégageait de ton corps, j'y arrivais à peine. Je n'avais jamais pris la peine de t'approcher de si prêt, lorsque tu étais dans cet état, je ne le supportais point. Je regardais donc vers la douche, t'y trainais, sans même que tu ne t'en rende compte, trop occupé à me tâter de tes mains baladeuses. Je m'en étais approchée, t'avais retirée ta chemise, déjà déboutonnée, l'avais balancée au loin, et t'avais poussé sous cet eau gelée, puis m'étais écartée. C'est alors que tu rouvris enfin les yeux, me regardant, ne saisissant rien de ce que j'espérais de sa part. Je t'ai souris, malicieusement, presque sarcastiquement, et devant ces dimension parodique et ironique, m'étais fait un plaisir de te jeter, momentanément, du moins. « Débarrasse toi donc des abominables puanteurs qui se dégagent de toi, on verra après pour la suite ».
Moi même ne savais pas pourquoi le fait de lui sortir ces mots me paraissaient comme plaisantes. Peut être bien que j'y trouvais un certain goût de vengeance, pour tout ce que tu me faisais subir. C'était sans doute le seul moment, l'unique, que j'aurais eu afin d'avoir le contrôle, ton contrôle. Je ne t'avais laissé aucune occasion de te justifier, d'acquiescer, ou de t'y opposer. Je m'étais juste retiré, avais fermé la porte derrière moi, et m'étais délicatement installé sur le lit. Presque vaniteuse, je patientais de l'autre côté de la porte, je savais bien que tu ne pourrais me refuser cette requête, tu étais de toute façon déjà aspergé d'eau. CODE DU RÉGLEMENT:[OK by Maëlla J. Walker]
Dernière édition par Alice Cullen le Mer 28 Jan - 20:22, édité 3 fois | |
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