| | | Maëlla J. Walker }* Admin |  |
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Maëlla J. Walker
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Localisation : Là où tu ne pensera pas me trouver...
Humeur : ... Ça va
Nature : Hum.. humaine, je pourrait être quoi d'autre ?
Date d'inscription : 24/01/2009
{{ YOURSELF .
* RELATION:
* CITATION: * « Quand une fille te répond ça va après quelques secondes... elle ne va pas du tout ! . »
* TOPIC: LIBRE
 |  Sujet: Maëlla J. Walker }* Admin  Dim 25 Jan - 5:38 | |
| ||  ||  || {{ YOU .
Ne jouez plu les mystérieux, dites-nous qui vous êtes
NOM: On m'apelle PuPuce
AGE: 15 ans
OÙ HABITEZ VOUS: Canada
COMBIEN DE FOIS PENSEZ VOUS VENIR PAR SEMAINE: 7/7
CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR: Megan Fox
{{ MAËLLA J. WALKER .
Serait-ce trop vous en demandez ?
PRENOM: Maëlla Jilian
NOM: Walker
AGE: 17 ans
LIEU DE NAISSANCE: San Francisco
DATE DE NAISSANCE: Le 9 août
GROUPE: Humaine
DON {Vampire uniquement : //
{{ THE REAL ME .
Surprenez nous !
CARACTÈRE {8 lignes minimum :
C'est en effet une femme secrète et insaisissable, qui possède un important contrôle d'elle-même et un calme qui passe souvent pour du détachement ou une indifférence glacée. Cependant, sa personnalité rebelle est souvent mal comprise par son entourage. Elle se montre très indociles, fières et susceptibles. Sa tournure d'esprit la porte à l'analyse, à la critique ainsi qu'au scepticisme. Franche, intelligente, têtue, garce et courageuses, elle a une puissante personnalité et tend à diriger et à commander. Maëlla méprisent la médiocrité et n'est pas faite pour les rôles subalternes. Aussi ne support-elle pas l'échec qui la rend aigrie, envieuse ou amère. Heureusement, elle sait parfaitement saisir les opportunités qui s'offrent à elle et est rapides d'exécution. Maligne, elle sait facilement se tirer d'embarras. Par ailleurs, impatiente et pressée, elle a tendance à être irritable et à manquer de tolérance. Maëlla doit l’avouer, c’est une femme orgueilleuse, pire encore, elle est aussi têtue qu’une mule et pense toujours que c’est elle qui a raison. Elle parvient difficilement à respecter ceux qui lui sont supérieurs en compétence ou en hiérarchie. Elle tient en mépris tout ce qui à trait à l'ordre ou à la contrainte. C'est en quelque sorte une anarchiste. On ne serait pas étonné de la voir faire des remarques mordantes au sujet des représentants de la loi. Elle hais tout se qui est appeler règlement, elle est libre et ne supporte en aucun cas se plier aux exigences d’autrui. Elle est très blessante dans sa façon de s’exprimer. Souvent amère et froide, elle varie des injures au sourire amical, selon votre situation relationnel avec elle. Sans limite, elle n'hésitera jamais à manipuler les gens pour arriver à ses fins. De plus, elle ne supporte en aucun cas les gens qui la prennent pour acquis. Peu importe de quoi il s'agit, elle vous prouvera le contraire de ce que vous dites. Elle n'aime pas être sous-estimer. Maëlla ne possède cependant pas une très forte intuition et a souvent tendance à être à l'afflux du danger. N'ayant peur de rien, sûr d'elle, elle n'aurait aucun mal à s'attirer des problèmes. Elle aime néanmoins être méprisante et tenir tête à tout ceux qu'elle rencontre. Elle se montre impulsive, capricieuse, colérique, impatiente et il lui faudra des années avant d'apprendre à tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, ce qu'elle n'a visiblement pas encore apprit. Par ailleurs, elle est quelque peu bohème, fantaisiste et peut manquer d'organisation, tant dans sa vie amical qu'amoureuse. Excellente comédienne, adaptable, capable de mimer les défauts d'autrui, elle possède un esprit critique et un sens aigu de l'observation. Quelque peu vaniteuses parfois, elle n'hésitera pas, s'il le faut, à s'adresser des compliments à elles-mêmes. Concernées par son caractère trop têtue, elle cherche souvent à se prendre la têtes avec les gens qu’elle déteste mais également avec ceux qu’elle aime. Elle adore taquiner et agacer certains. Embarquer dans les jeu des autres, c'est tout à fait son genre. Prendre soin de leurs montrer que c'est elle qui à raison et que c'est elle qui décide, elle adore.
PHYSIQUE {5 lignes minimum :
Son physique ? Vous n'allez sûrement pas me dire qu'il n'est pas avantageux, regardez là bien avant de me dire ça ! Déja, parlons des choses en générale : sa taille n'est pas vraiment grande, ça je vous l'avoue. Elle mesure 1m61, mais son poid est tout à fait équitable : 49 kilo. Elle a toujours fait attention à son poid, elle a une taille de guêpe et de longues jambes élancés, compensés très souvent par des talons hauts. Elle à un magnifique teint doré. Elle utilise toujours un maquillage très naturelle, mais aussi parfois vulgaire. En ce qui concerne son visage, c'est simple, on dirait un ange. (un ange déchu, néanmoins x) ). Elle a une fine bouche et de jolies yeux bleu ocean encadrés par une jolie cascade de cheveux ondulés noir foncé avec de fines lueurs brun acajous. Enfait, cela varie surtout de la lumière qui reflète sur sa magnifique chevelure toujours scintillante. En ce qui concerne le style vestimentaire, on peut dire que Miss Jones y fait attention, très attention. Elle est supperficielle, enfaite, elle acorde de l'importance à l'apparence des autres ainsi qu'à la sienne. Son style peut très bien varier : décontractée mais classe, osée et déjantée, chic et haute couture, ... Tout ce qu'elle porte lui va à merveille, elle arrive toujours transformer quelque chose de pas forcément superbe en magnifique tenue, suffit de bien savoir accordé. Ce don là, elle en a hérité, et elle fait tout ça d'instinct, sans reflechir. Elle aime bien les talons, vue qu'elle est assez petite.
HISTOIRE {15 lignes minimum :
L’amour est un bien grand mot à ne pas prendre à la légère. Oui, me direz-vous, c’est magnifique. C’est l’un des sentiments le plus fréquent cher l’être humains. Pourtant, si loin d’être banal. Ce n’est point une exigence vital qu’être en amour. Manger, boire, dormir, c’est eux seule qui nous maintiennent en vie. Nous sommes tous naquît possédant ceux-ci en réflexe, en besoins. Notre cerveau agie sans le moindre consentement. L’amour, c’est de ce point, identique. Percevoir dans les yeux d’autrui une brillance quelque fois éphémère, d’autre fois éternel. Sentir son cœur battre d’une façon tel, qu’il en est presque facile d’en discernée la fréquence exacte. Les souffles court se faisant de plus en plus rapide, les sourires de plus en plus présent. Ne devenir que mien ou tien. Tout cela, sans en avoir désirer l’existence. Parfois appeler âme sœur, ce sentiment n’est que rarement ressentit.
Rarement ressentit, mais pas inexistant. Mes parents en son la preuve vivante. Enfin, la preuve jusqu'à ce que je naisse. Commençons du tout début, c’était la rentrée des classes et Dean Jones, mon père, était à cette époque âgée de 18 ans. On pouvait le qualifié comme étant, populaire et désobéissent. Le genre de mauvais garçons qui intéresse toutes les filles. Toutes sauf, Daisy Walker, ma mère. Et oui, cette jeune demoiselle n’était pas attirer par cette homme aux allures grotesques. La plupart de ses amies ne comprenaient d’ailleurs pas pourquoi. Du côté de mon paternel, il trouvait Daisy magnifique. Malheureusement, n’osait le dire à personne, lui qui, fière et courageux, faisait partit de la clic la plus populaire de l’école, se devait de préserver son rôle. Son rôle de tombeur, d’intouchable rebeller. Quoi qu’il en soit, tout deux vivant dans de monde complètement différent. Mon père s’avait pertinemment qu’il n’avait aucune chance avec elle, sous peine de se faire jugée.
C’était par un matin d’hiver, où le froid avait complètement glacé l’eau des piscines ainsi que givrée les fenêtres, que Daisy sortait de chez aller afin de se rendre au dépanneur du coin. Ses parents lui avait donner l’obligation d’y aller à pieds. Ce qu’elle fit, avec une moue dessiner sur le visage. Mains dans les poches, elle marchait, tête basse, et frigorifié. Son souffle chaud devenait brumeux à tout ses expiration. Son jolie petit nez était rougie par la température. Soudainement, le bruit aigu d’un klaxon se fit entendre, comme si quelqu’un voulait l’interpeller. Elle leva alors les yeux pour voir qui étais-ce et aperçus, Dean. Elle soupira, signe de mécontentement. Mais que voulait t’il encore, pensa t’elle en cette instant. Il lui servit un sourire sincère et la pria d’embraquer avec lui pour ne pas qu’elle attrape froid. Évidemment, elle lui répondit négativement. Ce qu’il était têtue celui-là, il lui demanda tant de fois qu’elle termina par accepter. Il alla par la suite la conduire au dépanneur puis, chez elle. La maison de la Miss était plutôt petite et d’une couleur vert olive. Il la regarda partir vers la porte d’entrée, et soudainement, celle-ci se retourna pour lui faire un dernier salut, accompagner d’un sourire. Elle le détestait peut-être pas autant qu’elle aimait le prétende.
Dans l’après midi, Dean s’ennuyait à mourir. Il était dans sa grande villa, oui, il était riche, et ne s’avait que faire. Malgré les multiples biens matériels qu’il possédait, il n’avait qu’un passe-temps présentement, se tourner les pouces. Tout à coups, une sonnerie répétitive lui parvint du salon, celle du téléphone. Il se rua dans la pièce où le son se faisait entendre et décrocha l’appareil. Un sourire béat illumina ses lèvres, c’était Daisy. Cette dernière désirait le voir, en lui servant comme excuse qu’elle n’avait rien à faire… Lui, accepta sans hésitation.
Et ce jeu continua et continua, aussi bien qu’il tombèrent amoureux l’un l’autre. D’un amour réel, concret et discret. Au début, ils se voyaient en cachette, tout deux pour leur fierté. Elle, ne tenait pas à ce que ses amies le lui rappelle qu’elle n’était pas intéresser au départ. Lui, ne tenait pas à ce que ses amis le renie pour son changement de vocation radicalement. Pourtant, peu à peu, ils commencèrent à s’afficher. Rapidement, tous les enviait, c’était un couple merveilleux. À croire qu’ils était destiner à se rencontrer. Cette amour mutuelle ne cessa d’être. Plus âgée, ils prirent la décision d’avoir un enfant. Le premier fut mon frère. Un jolie petit garçons, mon père était heureux. Ma mère également, malgré ce que l’on aurait pût croire, tout les deux ne voulait pas de fille. Après de longue heures à discuter, il décidèrent de l’appeler Deven Walker.
Trois ans, trois ans s’écoulèrent avant que ce ne soit à mon tour de venir au monde. Je n’eus cependant pas une aussi belle accueille que celle qu’a eu mon frère. Disons simplement que l’amour que mes parents me portait était inexistante. J’ignore la raison, mais leur union, dégringolèrent en flèche après ma naissance. Mes parents ne s’aimait plus, 18 années d’amour qui ne cessait de grandir, se voie réduit en cendre, disparaître. Mon père quitta le foyer familial alors que je n’avait que quelques jours. Ma mère, depuis mon plus enfantin des souffles de vie, m’accusa moi, de leur rupture. Elle me haïssait, j’était une erreur de la nature selon elle, je n’aurait jamais dût exister. Sans quoi, elle saurait encore avec Dean à cette heures ci. Elle était douce, câline et aimante uniquement avec mon frère qui lui rappelait son amoureux perdu. Moi, j’était voué aux corvées de la maison. Je n’était bonne à rien d’autre, prétendait t’elle. J’avait comme seul ami, mon frère. Celui-ci était drôlement protecteur envers moi. À l’école, quand un garçons osait déposer son regard sur moi, plus grand et plus fort, Deven allait lui régler son compte. Ce qu’il ne s’avait pas que c’était inutile puisque moi, l’amour, je ne connaît pas.
Prenant de plus en plus de caractère, ma mère fut vite désarçonner quand, un soir, je lui répondit non. J’était dès lors âgée de 16 ans et n’en pouvait plus de me faire rabaisser sans cesse. Les injures qu'elle portait à mon égard n'était plus toléré. S’en était trop, j’avait décider de faire à ma tête. Je volait, fumait, buvait et faisait les pires conneries qu’une adolescente peut faire. En ayant marre de me voir agir ainsi, ma mère décida de m’envoyer en famille d’accueille. C’était bien mon frère qui était malheureux de cette décision, il ne pourrait plus veiller sur moi.
Arriver dans cette nouvelle famille, ce ne fût pas facile pour moi, pour moi ou encore pour mes belles soeurs. Mes parents adoptifs avait déjà cinq enfants, moi qui, plutôt solitaire et encline à vouloir tout décider, n’était pas en mesure de les supporter tous. Mon beau père nous battait, il était plutôt grand et trapu. Il avait un visage carré, encadrée par de petit cheveux court foncé. Munit d’une musculature impressionnante, nous ne pouvions rien contre lui. Peureuse, toutes ses filles se pliaient à ses exigences sauf… moi. Libre et têtue, je ne voulait pas obéir, c’est donc moi qui avait droit aux coups les plus fréquent. Me refusant de perdre cette bataille, je lui tenait tête à tout les jours, même si cela me valait des blessures profonde, voire même sanglante. Néanmoins, je restait forte. Je me devait de cette réusite personnelle.
Un ans passèrent avant que la police ce décide à intervenir. Je vous jure, je hais les représentant de la loi. J’aime encore moins devoir faire ce qu’ils veulent. Après avoir envoyer chacune de leurs filles dans des familles adoptives, ce fût mon tour. Il m’envoyèrent à Forks. Bien évidemment, n’allez pas croire que je suis rester dans ma nouvelle famille d’accueille. Non je suis resté deux jours tout au plus et est aller m’installer dans un appartement. Moi maintenant ? Qui je suis ? Pas bien différente de ce que j’ai toujours été, oui, toujours au fond de moi une voix me poussait à agir, mais jamais je n’en fut capable dans ma vrai famille. Désormais, je tien tête et n’a pas froid au yeux, je n’ait plus peur de rien, ma vie m’a permit de devenir de plus en plus forte de caractère. À ne jamais oublier, si vous croyez avoir raison, je vous montrerai le contraire.
L’amour, oui, sa peut vous sembler si beau. À prime abord nous l’envions, nous l’envions pour sa simplicité. Nous pensons être en mesure d’expliquer ce sentiment alors que la majorité des humains ne l’on jamais ressentit réellement. Prétendre aimer sans ne s’avoir le fond cacher de se mot. Nous l’utilisons si souvent mais pourtant, ne le pensons pas vraiment. Nous vivons en se mentent les uns les autres, vivre ce n’est pas aimer, mais haïr.
Dernière édition par Maëlla J. Walker le Mar 27 Jan - 0:26, édité 11 fois | |
|  | | Maëlla J. Walker
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Humeur : ... Ça va
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| | Sujet: Re: Maëlla J. Walker }* Admin Dim 25 Jan - 19:47 | |
| {{ QUESTION .
C'est simple, cochez votre réponse et dite pourquoi en moins de trois lignes. Point important, dite la vérité, le maître du jeu sait tout
Un choix s'offre à vous, sauvez votre vie ou celle d'un autre. Sauveriez vous la votre ?
{} Oui {X} Non
Pourquoi ?: En autant que ce soit quelque que j'aime, sinon, il peut bien mourir !
Vous êtes témoin d'un meurtre, allez vous le dire à la police?
{} Oui {X} Non
Pourquoi ?: Parceque, tant pis pour lui, c'est son problème si il c'est fait tuer. En plus, je n'ait pas envie de m'attirer des problèmes.
Seriez-vous près à poser nue dans un magasine pour de l'argent?
{} Oui {X} Non
Pourquoi ?: Tout simplement parceque je trouve ça dégoûtant. Il ne faut pas avoir de fierté pour faire ce genre de choses.
Trahireriez-vous un ami(e) pour arriver à votre voeux le plus chère?
{} Oui {X} Non
Pourquoi ?: Jamais au grand jamais je ne trahirait un de mes ami(e)s. L'amitier pour moi c'est sacrée.
{{ THE END .
Il ne vous en reste plus beaucoup avant d'entrer dans notre monde
OÙ AVEZ VOUS TROUVER LE FORUM: Question stupide -_-'
COMMENT LE TROUVEZ VOUS: ...
AVEZ VOUS LUE LES LIVRES TWILIGHT: J'en suis au quatrième
NIVEAU D'ÉCRITURE: Je n'aime pas me donnez une note
EXEMPLE DE RP: - Spoiler:
Évidemment, fallait c’en attendre avec moi. C’était quoi cette idée aussi d’aller accepter la proposition de ma copine à aller faire de l’équitation. Décidément, moi et les chevaux c’est deux. Je vous raconte même pas ce qui m’est arriver, j’aurais trop la honte -_-'. En gros, j’étais couverte de sable de la tête aux pieds et je vous jure que je rigolais pas du tout, ma copine elle, se roulait par terre de rire tellement j’avais une tête à faire peur..-_-'. Oui bon j’avais peut-être tomber une fois ou deux (menteuse plus que sa xD) mais c’était pas une raison pour en mourir de rire. Bah quoi, c’est quand même pas ma faute à moi si je suis hyper maladroite et gaffeuse, je suis née comme sa hen ! Bref, nous étions dans la voiture argenté du père de mon amie et c’était loin d’être le silence total, le sujet principal de leur conversation était bien évidemment, moi. Son père était tellement parano qu’il m’avait fait m’asseoir sur une serviette pour être sur de ne pas salire sa belle auto, n’importe quoi, c’était presque insultant. Moi je faisais la gueule les bras croisés tandis qu’eux deux se marrait bien de mes malheurs. Son père arrêta subitement de parler avec sa fille pour me regarder à travers le rétroviseur, il m’adressa un sourire moquer avant d’ajouter sur un ton qui se voulait quelque peu amusé
Alors, tu habite où la fille qui attire la poisse ?
Ah ouais alors lah, les deux d’en avant était bien les seules à rire. Le comble, c’est que son père connaissait mon prénom, enfin, un des deux s’entend. Je prit soin de prendre un visage irrité pour qu’il comprenne que moi je ne m’amusais pas du tout. Je le fusilla un long instant, c’était peut-être le père de mon amie mais tant qu’il me manquerait de respect, j’allais lui en manquer aussi. Non mais c’est quoi, j’attire la poisse maintenant ? Bah quoi que.. Il avait pas tort sur ce coup là. Bref, si j’avais envie d’arriver chez moi le plus vite possible, j’allais devoir lui répondre, bien que j’en avais pas vraiment le goût.
Humm, deux rues plus loin puis vous tournerez à droite, c’est le bloque 68
Je continua de bouder tout le long du trajet comme une gamine en regardant par la fenêtre, bras croisés sous la poitrine. Son père roulait trop vite, à croire qu’il avait lui aussi hâte que je les quitte, sa m’aurait même pas étonner. Quand la voiture bifurqua enfin dans ma rue, un sourire béat illumina mon visage. Ahh, enfin à la maison, j’étais tout à coup heureuse, j’allais pourvoir être tranquille. Mon appartement n’était pas très grand certes, mais le calme qui y régnait me plaisait beaucoup ( Ça c’était quand Seth ne faisait pas la fête avec ses copains xD ). Cependant qu’il se stationnait sur le bord de la route, je sortis à une vitesse incroyable du véhicule, même pas un derniers adieux à ma copine, de toute façon, elle en méritait pas xD. Je prit soin de faire attention de ne pas tomber avec mes talons. Ahh bien voilà, j’ai trouver pourquoi je n’étais pas douée avec les chevaux, faire de l’équitation en talon haut c’est pas la meilleure idée que j’ai eu. J’y penserais la prochaine fois, quoi que non, y’aura pas de prochaine fois. Je me suis mise alors à rigoler toute seule à ce que je venais de penser, décidément, j’étais trop cruche -_-' tandis que la voiture disparaissait derrière moi.
Je montait alors les quelques marches avant de me retrouver devant la porte de l’appartement. Heureusement, j’avais mes clés sur moi. Je sortis de mon sac à main, mon porte clé. Il y avait tellement de babioles après ça que sa me prit au moins cinq longues minutes trouver la seule clé qui s’y trouvait. Entre des froufrous et des toutous miniatures essayer de trouver une seule clé -_-' j’vous jure, c’est pas facile. Encore moins pour une cruche comme moi… Bref, je pénétra (pas de penser perverse je vous prit xD) la clé dans la serrure et ouvrit la porte. Il faisait plus froid que d’habitude dans l’appartement. Seth était t’il là ? Pour vérifié, j’allais devoir l’interpeller, si il ne me répondait pas, cela confirmerait à mes doutes. Je poussa un long soupire avant de dire d’une voix amicale
Seth ? T’es là mon chou ?
Une puis deux minutes s’écroulèrent sans qu’un son se fasse entendre. Il était effectivement absent. Mais où était t-il bon sang ? Néanmoins, cela n’avait aucune importance puisque je n’avais pas besoins de lui pour ce que je m’apprêtais à faire et puis au moins, je n’aurais pas l’obligeance de lui expliquer la raison de mon… salissage extrême, je voulais pas avoir la honte devant lui non plus -_-'. Je désirais avant tout prendre une bonne douche chaude, j’étais incapable de toléré le sable sur ma peau ainsi que sur mes vêtements. J’allais aussi devoir faire un lavage et si les tâche ne partait pas, j’opterais pour ma deuxième solution, brûler mes vêtement ^^. J’effaça rapidement ses pensée de mon esprit et me rendit directement à la salle de bain. Je fixais mon reflet dans la glace, décidément ce cheval ne m’avait pas manquer, et je suis certaine que présentement il en rigolait encore. Heu…nan mais me je suis vraiment déranger moi, je suis pas vraiment en train de pensé qu’un cheval rit de moi lah.. Ok, sa confirmait mes craintes, je suis effectivement folle, je me demande d’ailleurs comment Seth fait pour m’endurer à tout les jours dans l’apparte’, je dois être un vrai boulet.
Je commença part enlever mon chandail qui s’écrasa sur le sol alors que ma main le lâcha de l’emprise qu’elle avait sur celui-ci. Par la suite, je passèrent au reste de mes vêtements, qui allèrent tous rejoindre leur ami le chandail par terre ( bon maintenant elle pense que des vêtements sa peut avoir des amis, olala Seth, t’es sur que tu veux être son amie ? xD ). Une fois complètement nue, elle entra sous le jet d’eau bouillant. Cela lui procurait une sensation de fraîcheur. C’était d’autant plus amusant une douche que de l’équitation sa je peux vous le dire. De ma main droite, j’attrapa mon shampoing « Douce fraîcheur du matin xD » et m’en étala dans ma paume, le liquide rose alla rapidement se mélange à mes cheveux mouiller tandis que je les lavais avec délicatesse. Oui maman prendra soins de vous les cheveux, elle vous abîmera pas c’est promit ^^. Après les avoir laver entièrement, je les rinça et attrapa mon gel pour le corps, de la même collection que mon shampoing. J’attrapa ma lavette rose et appuya sur la bouteille, je referma par la suite le couvercle et reposa mon gel de douche à sa place habituelle. Je me lava le corps avec soins et aimais l’odeur qui naissait alors dans la douche. Après m’avoir par la suite appliquer le conditionnant à cheveux et les avoir rincer, j’ouvrit le rideau. D’un seule petit geste vif, j’attrapa ma serviette, c’était facile la différenciez avec celle de Seth, j’avais fait broder mon nom pour être sur de ne pas me tromper xD. J’enroula finement ma serviette juste un peu en haut de ma poitrine. Elle était vachement petite ma serviette, il fallait que j’aille m’en acheter une nouvelle.
Ne me souciant de rien, je sortis de la salle de bain avec mes vêtements sales. D’un pas subtil, je me rendis dans la salle de lavage, toujours uniquement en serviette -_-' pour commencer une brasser. J’ouvrit la laveuse, y mit mes vêtements puis tout ce qui va avec, sent bon, savon bref, et referma le couvercle. J’appuya sur le gros bouton « On » et la machine se mit en marche. Quittant la pièce, j’allais dans, non pas ma, mais bien NOTRE chambre. Et bah oui, dans un appartement aussi partit c’est pas étonnant qu’on soit obliger de partager notre lit. Quand j’ouvrit enfin la porte de la chambre, je m’empourpra d’un rouge vif. J’étais en serviette à moitié nue devant...
CODE DU RÉGLEMENT:Je l'ais écrit donc forcément... | |
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